Les différences entre l’hypno-thérapie et l’hypnose de spectacle ?

Pour distinguer l’hypnose de spectacle, de l’hypnothérapie, c’est simple, en hypnose de spectacle, seuls les aspects spectaculaires sont recherchés.

Il faut que les effets se voient, sur la personne volontaire, le “cobaye”, systématiquement sélectionné pour son influençabilité, appelée sa « réceptivité » pour épater la galerie.

En hypnothérapie, l’effet recherché est la détente, puis une fois que la personne est détendue, le travail commence.

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Pourquoi un travail de thérapie ou psychothérapie détendu ?

L’hypnose est l’activation de la conscience. C’est un processus qui permet à tout un chacun d’activer des mécanismes inconscients et de redécouvrir ses propres ressources pour faire face à un problème.

On apprend mieux quand on est détendu, apaisé, serein et heureux, que stressé.

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Quand on rencontre certains soucis de santé, il s’avère que l’on est tellement enfermé dans nos apprentissages, dans les cadres imposés, que l’on perd certaines facultés à trouver une solution pouvant débloquer une situation qui semble sans issue.

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Grâce à l’hypnose, le patient va activer certaines parties de son cerveau. Cela a été démontré de manière scientifique par l’IRM fonctionnelle.

Certaines zones s’activent différemment lorsque l’on est dans un état dit « d’hypnose » ou « d’activation de la conscience » par rapport à l’état « d’éveil simple » ou de sommeil.

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Dans cet état d’hypnose, il semble que l’on puisse remettre en lien des choses que l’on a apprises mais que la mémoire a enfoui depuis des années. Cela permet d’ouvrir des champs pour appréhender autrement le problème rencontré.

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Comment se passent les séances d’hypnose ?

C’est un peu comme un menu à la carte en fonction du patient.

En général, Graziella réalise une première consultation durant laquelle elle fait une anamnèse, et détermine la demande réelle du patient.

Ensuite, elle explique en détail comment les séances se passent.

Ce sont des outils que Graziella met  à disposition du patient par de l’autohypnose.

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Durant les séances, le patient apprend également les bonnes conditions pour se mettre en autohypnose afin de pouvoir le faire seul, sans l’aide d’un thérapeute.

Ce sont donc des outils que le patient apprend.

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Graziella propose au patient de trois à cinq séances (en fonction des pathologies) et lui donne des tâches réaliser. Elle vérifie que le patient est prêt pour l’autohypnose.

Les consultations sont un échange. De plus, les demandes du patient peuvent être multiples.

Il est donc important de les prendre une à une et s’occuper de chaque problème de manière isolée.